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Lettres
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25 septembre 2004

Lettre 7

VII Les pages blanches du bottin sont fades comme des listes de fournitures scolaires. J'espère souvent rencontrer ton visage au coin des pages studieuses, au détour de nos ruelles taciturnes. C'est cela qui rend un peu de sens à nous deux, face à l'adversité....
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18 septembre 2004

Lettre 6

VI Autour de nous, le silence les éloigne et rapproche nos regards. Ton air d'indifférence qui fait ta présence, mes mains incertaines, on s'étonne de nous. Deux enfants qui s'écrivent leurs vies de bohème pour combler leurs regrets. Qu'allons-nous devenir...
16 septembre 2004

Lettre 5

V Des réactions chimiques, les expériences et de l'arithmétique. Les cahiers, les feuilles polycopiés étendus sur la table de bibliothèque. Les rangées sont strictes, le silence aussi, à Beaubourg. Que fais-tu par cet après-midi un peu doux pâle comme...
12 septembre 2004

Lettre 4

IV Gouttes de fin d'été. Et les feuilles qui s'égarent. Entrent dans la danse. C'est le soir où l'on ne veut plus croire, parce qu'on ne peut plus. Le soir où je me dis que tu es un leurre : je discute avec la solitude. Tu n'entends pas ma voix basse...
8 septembre 2004

Lettre 3

III Tu m'accompagnes dans les couloirs, entre deux sonneries, comme je n'ai personne pour me voir. Les après-midi vides qui sont des passages de la monotonie, seront remplis par ta présence, celle de tes mains qui me découvre le monde. Tu me montres ce...
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8 septembre 2004

Lettre 2

II C'est la rentrée, il n'y a pas de mes amis dans ma nouvelle classe. Si je suis seul, tu me verras flâner sur les rivages du lycée. Je serai assis sur un banc dans le square, en train de t'écrire les lettres que je t'enverrai. Et puis, des gamins arriveront...
6 septembre 2004

Lettre 1

I Des nuits à penser à toi. Dans la chambre éteinte de la nuit qui vous laisse seul dans la pénombre et la solitude. Un peu d'air, fraîcheur du doux dehors qui frôle l'épiderme, la caresse, et vous laisse. Des nuits au creux du sommeil, dans la fuite...
2 septembre 2004

Introduction

- Il y a cette inconnue, qui est toutes celles que tu as aimé le plus, que tu a cru être l'unique à chaque fois que tu l'as aimée, et qu'elle a filé. Elles sont superficielles, seul ce qui est vrai reste, il est le "clair de femme" qui se ballade jusqu'à...
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